BR 230 (fin) et BR 163

La production céréalière du Brésil croît plus rapidement que ses capacités de stockage et transport. Alors que la production se situait au sud du pays, elle se développe rapidement vers le Nord, en particulier le Mato Grosso.

Les zones habitées sont dédiées aux camions : entretien, réparation, pneumatiques, restaurants et hôtels. Les restaurants sont des libre-service où le menu est toujours le même : crudités, viande , légumes et riz. C’est copieux et très bon.

Notre préféré:

En plus, la propriétaire nous a fait déguster son chocolat fait maison..

Les cabosses contenant les graines de cacao

Beaucoup de bovins également

La BR 230 est rejointe par la BR 163 à une centaine de km de Ruropolis, et continue ensuite vers le Pérou.

Nous prenons la BR 163 pour 1400 km plein sud jusqu’à Cuiaba, point de départ vers le Pantanal.

La circulation des camions sur la BR 163 est dantesque : la route est loin d’être goudronnée partout, et la poussière rend la visibilité aléatoire..

Une autre jolie rencontre, Alex et sa famille, qui nous ont invités à partager leur repas. Ils nous ont également fait découvrir un petit coin de paradis

Les bivouacs sur la BR 163 ne sont guère folichons, en général en retrait (plus ou moins) de la route. On a tout de même eu une jolie surprise avec le repas du soir d’un groupe d’aras dans un palmier de l’autre côté de la route; soirée jumelles..

Retour sur la BR 163 et ses seigneurs de la route…


Celui-là ne sera pas pour nous

Samedi 27 avril. Nos vêtements sont imprégnés d’un subtil mélange de poussière et de sueur, qui contribue- avec l’absence depuis trois jours d’une toilette un peu fouillée -à un aspect négligé et probablement une odeur de chacal (mais qui ne nous incommode nullement puisqu’on la partage)

Après un rapide briefing, on décide que ce sera douche+nuit dans un vrai lit.

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