Brésil, clap de fin.

Jeudi 23 mai

Direction Pelotas, ville au drôle de nom, bien plus dynamique que celles qu’on a vues dernièrement…serait-ce le fait de deux belles rues piétonnes où l’on s’arrête volontiers pour s’asseoir sur un des nombreux bancs autour des arbres, pour discuter, regarder les gens ou manger une glace. C’est bien plaisant dans un pays où les villes sont conçues pour les voitures. D’ailleurs, la seule chose qui nous a irrité au Brésil, c’est le mépris quasi comique des automobilistes pour le piéton..

Cela dit, ce qui va rester de plus vivant dans ce voyage, c’est la gentillesse des Brésiliens. Ils sont curieux de vous, toujours prêts à vous aider, rigolards quand ils vous écoutent baragouiner lamentablement trois mots de leur langue, sans jamais vous en vouloir de ne pas avoir fait un petit effort pour apprendre.



Des façades derrière lesquelles il y a le vide, parfois dévorées par la végétation



Au gré de nos déambulations, nous sommes tombés sur Napoléon, en se demandant ce qu’il faisait là!


On regarde la carte, on voit un point qui s’appelle Rio Grande, alors on va y faire un tour, un nom pareil, on ne va pas l’éviter…et on se retrouve dans le 4ème plus grand port industriel du Brésil!

Nous continuons à descendre plein sud par la BR 471 qui chemine entre deux lagunes. On retrouve les capibaras.




Vendredi 24 mai

Chui. Passage des deux postes de la frontière en moins d’une demi-heure; côté brésilien, le douanier n’apprécie pas trop que Jean-Paul lui parle en espagnol…côté Uruguay, c’est plus sympa, une des fonctionnaires a mon nom de jeune fille comme nom marital; on entre dans son pays comme si on faisait partie de la famille..

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