Uruguay, suite et fin….et maintenant l’Argentine

Vendredi 16 décembre 2016

Nous quittons l’Uruguay après un retour éclair à Montevideo pour récupérer une carte bancaire volée à Dakar.

Nous avons bien aimé cette scène

Montevideo

 

Pour le reste, Montevideo c’est l’architecture prétentieuse des nouveaux riches, années 30 à nos jours ; c’est à qui fera le plus de clochetons, qui mettra le plus de bas reliefs sur sa façade, ou le plus de plans vitrés. Ce ne sont que banques, compagnies d’assurances et galeries d’art privées

C’est ici qu’arrive l’argent produit par l’Uruguay que nous avons rencontré.

 

Montevideo

Nous n’avons pas visité Punta del Este et les stations balnéaires de la côte est.

Remontée vers le nord, le long du fleuve Uruguay.
Dans ces paysages de bocage, avec des zones humides, les oiseaux, nombreux, nous ont bien occupés : jacanas, cigognes, cardinaux, caracaras, et puis le quero quero qui est partout en Amérique du Sud.

vers la frontière Uruguay-Argentine vers la frontière Uruguay-Argentine

 

Notre dernier bivouac, c’était au bord d’un bras du Rio Uruguay, tout près de la frontière avec l‘Argentine.

Soriano

 

Soriano

 

Le ciel était clair, les étoiles nombreuses ; nous allions nous coucher, lorsque la lumière bleue d’une luciole s’est baladée en clignotant entre les roseaux. Il faisait très doux.

 

 

dscf4978

Nous voici en Argentine ; petit flottement au passage de la douane : nous sommes entrés en Argentine le 29 novembre et sortis le 30, pour notre balade à Zarate lors de l’escale du cargo; mais le véhicule n’est pas sorti; on finit par s’entendre avec l’administration.

Bivouac au Parque del Palmar ; ce parc national a protégé le palmier yatay qui était très présent dans cette région d’Entre Rios avant la déforestation intensive à partir de la fin du XIXè siècle; la faune y est abondante, et les capybaras particulièrement présents. Ce sont les plus gros rongeurs du monde, de la taille d’un petit cochon.

Parque del Palmar Parque del Palmar

Parque del Palmar dsc_0031dsc_0028 dsc_0047

dsc_0015

Le capybara

 

dsc_0018

 

Les viscaches, rongeurs de la taille d’un gros lapin, occupent le camping.

dsc_0042

Lundi 19 décembre 2016

Dans notre montée vers Iguazu, nous passons près de la réserve de Esteros de Ibera, une vaste zone lagunaire à la faune très riche. Après 200 km de route droite à 70 km/h , on prend la première piste à droite à La Cruz ; ce sera 180 km de piste magnifique où la faune est bien là. Ripio et sable, mais surtout poussière..
La punition, c’est le nettoyage complet de l’intérieur du véhicule.

dscf5034 dsc_0106dsc_0082 dsc_0039 dsc_0054 dsc_0020 dsc_0017dsc_0075 dsc_0074 dsc_0108 dsc_0077 dsc_0100 dsc_0085 dsc_0070 dsc_0044 dsc_0106

 

Le camping est un vaste terrain gazonné, au milieu du parque; les oiseaux peu farouches occupent les nombreux arbustes qui nous entourent.

Aujourd’hui, ballade en bateau pour voir la lagune de l’intérieur. Gros orage dans la soirée : pour la piste du lendemain, on remplace la poussière par la boue ; Jean Paul et le Pinz se régalent..

Sur la route qui mène à Puerto Iguazu, un champ de yerba maté, la boisson nationale en Argentine (et en Uruguay)

ibero-a-iguasu16

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *